Ce lundi 14 octobre marquait le premier interrogatoire de Marine Le Pen dans le procès des assistants parlementaires du Front national. Le parti d’extrême droite, devenu Rassemblement national, est soupçonné d’avoir falsifié des emplois d’assistants au Parlement européen en les faisant travailler pour lui.
L’ancienne présidente du parti comparaît au tribunal correctionnel de Paris pour détournement de fonds publics. Elle encourt une peine de prison, une lourde amende et une peine d’inéligibilité qui pourrait mettre fin à ses ambitions pour l’élection présidentielle de 2027.