Les experts espèrent 250 millions d’hectolitres, voire moins, pour 2024. Différentes raisons expliquent ce chiffre trop bas. D’abord, le climat toujours plus instable avec des sécheresses, des pluies importantes ou même de la grêle. Ensuite, le comportement des Français a changé.

Sur sa page, La Revue du vin de France écrit : « le phénomène de montée en gamme de la consommation de vin observé ces dernières années – moins mais mieux – est toujours d’actualité. » Enfin, les ventes à l’étranger baissent, notamment en Asie comme le signale le média Viti.